Êtes-vous dans une situation où votre enfant à des crises et cela juste à la mention du mot « école » ? Est-ce que votre enfant se retrouve avec une maladie mystérieuse juste avant de devoir aller à l’école ? Craignez-vous le début de la nouvelle année ? Si cela s’applique à votre situation alors vous avez un enfant qui pourrait aller vers la déscolarisation.
Le refus scolaire n’est pas la même chose que l’absentéisme. L’enfant qui fait de l’absentéisme va choisir en pleine volonté d’être désobéissant et de décevoir, il va se préparer le matin de la même manière qu’il partirait pour l’école, mais il ne va jamais atteindre ce but. Les enfants qui vont exprimer de l’anxiété à propos de l’école à travers des maladies, des pleurs, de s’attacher à vous... ont généralement un bon comportement et se plient aux règles. En cas d’absentéisme, un parent ne sera peut-être même pas au courant de l’endroit où est son enfant, mais en cas de refus de l’école, les parents savent exactement où ils sont. Très souvent, un enfant qui va refuser d’aller à l’école a des soucis d’anxiété.
Votre enfant pourrait avoir des soucis à l’école avec de la solitude ou du harcèlement, mais il peut tout aussi bien trouver la tâche trop dure. Cela est plus spécialement vrai au début de l’année scolaire quand le travail devient progressivement plus difficile. Obéir aux règles, apprendre de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences, tout cela prend beaucoup d’énergie. Si votre enfant a juste eu de longues vacances où il a pu faire son passe-temps favori, alors il va trouver bien évidemment l’école difficile !
En plus de cela, il n’est plus dans ce climat de sécurité d’être à la maison avec ses parents et leurs frères et sœurs et il est soudainement dehors dans le grand monde avec des personnes qui sont nouvelles pour eux. Cela peut être effrayant et faire que votre enfant se sent vulnérable. Il pourrait même se faire du souci par rapport au fait qu’il pourrait vous arriver quelque chose ou à leur animal de compagnie, frères et sœurs alors qu’ils sont partis à l’école.
Vérifier toute possibilité de maladie réelle. Si votre enfant se plaint de symptômes physiques, prenez-le au sérieux et amenez-le chez le médecin. Ne partez pas de principe qu’il n’y a rien de problématique et que votre enfant imagine, simule.
Ayez une règle claire dans votre foyer à propos de ce qui est une maladie qui permet à l’enfant de rester à la maison et ne pas aller à l’école ; fièvre, grippe…, mais pas un coup de froid, un mal de tête ou des douleurs à l’estomac. S’ils sont réellement malades, l’école va rapidement vous contacter pour que vous repreniez votre enfant.
Soyez sûr que votre enfant a assez de sommeil. Les enfants entre 6 et 12 ans ont besoin de 9 heures de sommeil la nuit. Votre enfant devrait aller au lit sans gadget ni électronique quand vous lui dites et non quand il choisit.
Communiquez. Parlez à votre enfant pour savoir ce qui le dérange et essayez de trouver l’origine de tous soucis. Vous devez préparer un plan qui inclue le retour à l’école et vous devez être clair sur le fait que c’est ce qui va arriver, mais en même temps soyez très attentif à ce que dit votre enfant. Souvenez-vous que votre enfant n’est pas toujours capable de mettre des mots sur ce qui ne va pas, mais vous devez le soutenir de votre mieux.
Cherchez des preuves de ce que ce problème est exactement. Cela est très important si votre enfant ne communique pas clairement avec vous sur ses soucis.
Pas de sermon ! Cela n’aide pas d’avoir de longues disputes. Il est possible que votre enfant ait juste besoin d’une grande attention et si les sermons deviennent fréquents, le refus de l’école va grandir.
Parlez aux professeurs. Bien souvent, les professeurs sont les mieux placés pour savoir ce qui se passe avec votre enfant à l’école. Vous allez aussi avoir besoin d’alerter l’école sur le fait qu’il y a un souci et que vous vous faites du souci en tant que parents et que vous voulez résoudre cette situation.
Aussi, il ne faut pas être trop autoritaire. Ne supposez pas directement que le professeur ou l’école est la cause. Il y a énormément de cas de harcèlement scolaire qui ne se voient pas sauf avec un bon travail avec l’enfant. Vous allez montrer le souci à l’école et ils seront reconnaissants.
Rester à la maison n’est pas la solution. Faites savoir à votre enfant que s’il reste à la maison, cela ne sera pas du loisir. S’il est malade, il a besoin de se reposer au lit, sans télévision ni jeux et pas d’attention supplémentaire de votre part. Être à la maison en dehors des vacances ne devrait pas être attirant pour votre enfant.
Si l’anxiété est tellement forte que votre enfant doit rester éloigné de l’école ; créez un environnement d’apprentissage. Il aura besoin de s’asseoir à un bureau et travailler. S’il n’est pas malade, votre enfant ne devrait pas être autorisé à dormir. Si vous travaillez, essayez d’enrôler un ami qui ne travaille pas ou en retraite, un voisin, ou proche pour vous aider avec cette situation.
Soyez calme, offrez soutien en étant ferme.
Créé par Tom Vermeersch (bio)
Tom Vermeersch est psychologue certifié et expert en fleurs de Bach avec plus de 30 ans d'expérience.
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Votre enfant pourrait avoir des soucis à l’école avec de la solitude ou du harcèlement, mais il peut tout aussi bien trouver la tâche trop dure. Cela est plus spécialement vrai au début de l’année scolaire quand le travail devient progressivement plus difficile. Obéir aux règles, apprendre de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences, tout cela prend beaucoup d’énergie. Si votre enfant a juste eu de longues vacances où il a pu faire son passe-temps favori, alors il va trouver bien évidemment l’école difficile !
En plus de cela, il n’est plus dans ce climat de sécurité d’être à la maison avec ses parents et leurs frères et sœurs et il est soudainement dehors dans le grand monde avec des personnes qui sont nouvelles pour eux. Cela peut être effrayant et faire que votre enfant se sent vulnérable. Il pourrait même se faire du souci par rapport au fait qu’il pourrait vous arriver quelque chose ou à leur animal de compagnie, frères et sœurs alors qu’ils sont partis à l’école.
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Ayez une règle claire dans votre foyer à propos de ce qui est une maladie qui permet à l’enfant de rester à la maison et ne pas aller à l’école ; fièvre, grippe…, mais pas un coup de froid, un mal de tête ou des douleurs à l’estomac. S’ils sont réellement malades, l’école va rapidement vous contacter pour que vous repreniez votre enfant.
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Cherchez des preuves de ce que ce problème est exactement. Cela est très important si votre enfant ne communique pas clairement avec vous sur ses soucis.
Pas de sermon ! Cela n’aide pas d’avoir de longues disputes. Il est possible que votre enfant ait juste besoin d’une grande attention et si les sermons deviennent fréquents, le refus de l’école va grandir.
Parlez aux professeurs. Bien souvent, les professeurs sont les mieux placés pour savoir ce qui se passe avec votre enfant à l’école. Vous allez aussi avoir besoin d’alerter l’école sur le fait qu’il y a un souci et que vous vous faites du souci en tant que parents et que vous voulez résoudre cette situation.
Aussi, il ne faut pas être trop autoritaire. Ne supposez pas directement que le professeur ou l’école est la cause. Il y a énormément de cas de harcèlement scolaire qui ne se voient pas sauf avec un bon travail avec l’enfant. Vous allez montrer le souci à l’école et ils seront reconnaissants.
Rester à la maison n’est pas la solution. Faites savoir à votre enfant que s’il reste à la maison, cela ne sera pas du loisir. S’il est malade, il a besoin de se reposer au lit, sans télévision ni jeux et pas d’attention supplémentaire de votre part. Être à la maison en dehors des vacances ne devrait pas être attirant pour votre enfant.
Si l’anxiété est tellement forte que votre enfant doit rester éloigné de l’école ; créez un environnement d’apprentissage. Il aura besoin de s’asseoir à un bureau et travailler. S’il n’est pas malade, votre enfant ne devrait pas être autorisé à dormir. Si vous travaillez, essayez d’enrôler un ami qui ne travaille pas ou en retraite, un voisin, ou proche pour vous aider avec cette situation.
Soyez calme, offrez soutien en étant ferme.
Un psychologue clinicien spécialiste de l’anxiété et des troubles liés à ce problème de l’université de Boston expliquent qu’il existe des stigmates qui ont été créés par la société pour les personnes atteintes d’anxiété.
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Des millions de personnes ayant été congédiés pendant des mois sont maintenant rappelées au travail. D'autres, qui ont travaillé à domicile pendant la période de confinement, retournent au bureau. Et certains emplois ont tout simplement été perdus : de nombreuses personnes sont menacées de licenciement et devront bientôt faire face à la recherche d'un emploi. Le retour au travail après une période sans précédent à la maison est un véritable défi.
Le narcissisme est un terme que nous entendons souvent de nos jours. Mais qu'est-ce que cela signifie ? Il est utilisé pour qualifier une personne qui est imbue d'elle-même ou trop vaniteuse. Cependant, il ne s'agit pas vraiment d'amour-propre.
Il n'est pas toujours aisé de savoir si quelqu'un souffre de dépression. Si certains signes tels que la tristesse, le pessimisme et le manque de contacts sociaux sont faciles à reconnaître, d'autres symptômes peuvent être moins manifestes. Et certaines personnes savent très bien dissimuler leur dépression - même à elles-mêmes !
Quelquefois, il est malaisé de discerner quand nous sommes pris au piège de routines familières. Participez à notre quiz pour savoir si vous êtes coincé dans une ornière et ce que vous pouvez faire pour y remédier.
De nos jours, on recherche bien souvent des moyens très compliqués pour pouvoir lutter contre des soucis de santé. Parfois, c’est la nature qui va tout simplement nous offrir des moyens sains et faciles d’accès afin de nous remettre d’aplomb.
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Les fleurs de Bach ne sont pas des médicaments, mais des extraits de plantes utilisés en soutien pour la santé.
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